ça, c'est clair qu'on ne peut pas considérer que les chaussons de mon birman se soient transmis de manière
"dominante"" à mes chatons vu qu'ils n'ont, à mon grand soulagement, que de microscopiques morceaux de chaussons, c'est-à-dire en quantité 10 à 20 fois inférieure à celle des chaussons de leur père birman.
Personnellement, en l'état actuel des choses, je conclus pour l'heure à un caractère de récessivité partielle ou incomplète du gantage des birmans. Il me semble qu'il est plus propre de parler de récessivité partielle ou incomplète plutôt que de dominance partielle ou incomplète (bien que ces 2 concepts se confondent en théorie) vu l'énormité de la déperdition du gantage entre le père birman et ses enfants "croisés" obtenus avec ma chatte noire.
Pour avoir un gantage, il faut recroiser avec des birman.Il faudrait en effet réaliser l'expérience inverse de la mienne, à savoir recroiser l'un de mes chatons hétéros N/G avec un birman homo G/G, afin de voir si les chaussons réapparaîtraient dans des dimensions "normales" à l'état homozygote G/G qui serait celui de 50% des chatons. Mais instinctivement je ne suis pas entièrement certain que des chaussons entiers réapparaîtraient chez ces chatons homos G/G ainsi obtenus : mon petit doigt me dit qu'il pourrait bien y avoir d'autres gènes que le glove pour organiser la fabrication des chaussons...
De plus, c'est pas moi qui réaliserai ce genre d'expérience car je cherche au contraire à supprimer tous les chaussons que je rencontre